Un jour, un certain Patrick Lambert s’est demandé comment on pourrait représenter les chiffres d’une manière universelle, il ne se doutait pas alors que ses recherches allaient le mener à faire une découverte extraordinaire en Égypte, celle de la porte des étoiles…
Voici un résumé d’une de ses conférences :
La recherche qui a conduit à la découverte de la porte des étoiles
Parce que je voulais représenter les chiffres d’une manière universelle, en dehors de toute référence culturelle, je me suis graduellement aventuré sur une piste qui m’a conduit à faire une incroyable découverte…
Il ne s’agit pas ici de science complexe ni de savants calculs.
La démonstration qui va suivre est faite de choses simples, de petits riens, d’intuitions, d’observations à la portée de tout un chacun.
Je n’ai fait que surligner de tous petits détails qui dorment depuis longtemps à la vue de tous.
En effet, tous les éléments de la découverte étaient là, à la bonne place.
Il suffisait juste de leur donner un sens.
Voici donc comment a commencé cette réflexion qui m’a conduit à découvrir l’emplacement probable de la porte des étoiles, qui selon moi se trouve aujourd’hui encore en Égypte…
Trouver une manière universelle de représenter les chiffres
Tout a commencé pour moi par un défi que je me lançais : si le langage mathématique était le langage universel par excellence, alors, il devait exister une manière universelle de représenter le temps (les chiffres).
C’était cette représentation, compréhensible par tous indépendamment de la culture et de l’éducation, que je me proposais d’établir.
Guidé par un principe de simplicité schématique, je me suis donc amusé à me représenter comment l’homme pouvait dessiner le temps d’une façon intelligible et universelle.
J’arrivai rapidement à un premier résultat :
La première question qui nous vient, devant ce schéma, c’est de savoir s’il y a vraiment une raison logique et intelligente qui nous pousse à représenter le nombre UN par un trait vertical…
En réalité, un point serait finalement une représentation bien plus logique parce que beaucoup plus simple.
Le point est en effet le dessin le plus simple et le plus représentatif pour incarner logiquement le nombre UN à travers un dessin.
Dans un second temps, je me suis rendu compte que mon point était aussi un cercle.
En effet, le cercle est un point qui serait observé de plus près.
Finalement, j’en suis arrivé à la conclusion que le UN pouvait être un cercle parfait.
À partir de là, il est évident que tous mes autres chiffres devaient se rapporter à mon cercle pour être aussi uniques et atteindre une absolue rigueur géométrique.
En effet, si je devais inventer de nouvelles figures de chiffes sans tenir compte du Un le raisonnement ne pourrait pas tenir debout.
Parce que le Un est le premier et que la suite en découle.
Le nombre DEUX est tout aussi intéressant à dessiner dans sa forme la plus simple et la plus logique.
J’ai évidemment pensé représenter le DEUX par deux points… et donc deux cercles.
Cependant, la faiblesse de cette représentation m’est rapidement apparue du fait du vide qui existe entre les deux points.
Ce vide peut en effet être immense, car l’espace et le temps sont deux perceptions très relatives.
La figure de deux barres l’une à côté de l’autre ne convenait pas non plus pour les mêmes raisons.
En repartant du cercle du début, j’ai donc tracé un trait de séparation pour marquer le DEUX mais cette nouvelle représentation n’était pas plus logique, car le trait de séparation représentait encore le vide qui peut exister entre les deux côtés du cercle.
Finalement, le seul moyen simple et logique pour dessiner le DEUX est d’entrecroiser deux traits comme ceci +.
Car une rencontre se forme en son centre et là, seulement là, on peut dire que nous sommes deux au centre de la rencontre +.
En outre, contenu dans un cercle, l’entrecroisement de deux traits est équilatéral.
Tous les côtés sont égaux.
Quel est le dessin simple et logique possédant TROIS côtés égaux et pouvant représenter le nombre 3 ?
C’est le triangle équilatéral bien sûr, parce que dans un cercle c’est la seule et unique forme possible.
En dessinant les trois premiers chiffres avec ce principe de simplicité, de logique et de rigueur géométrique, on se rend compte que le résultat nous ressemble.
En effet, le UN, DEUX et TROIS placés successivement dans le sens de la loi de la gravité nous donne la représentation d’un dessin à notre ressemblance, celui que tout jeune enfant fait lorsqu’il veut représenter un être humain debout sur la terre.
Lorsqu’il s’agit de représenter le chiffre quatre, c’est évidemment le carré qui s’impose à l’esprit.
C’est logique puisque dans un cercle c’est l’unique forme à quatre côtés égaux.
Le cinq c’est un pentagone. Le six un hexagone. Je m’arrête à six parce que c’est le début des temps.
N’oublions pas qu’à l’origine le premier système de division du temps dont les Sumériens avaient eux-mêmes hérité de civilisations plus anciennes, était un système sexagésimal.
Revenons alors à notre être humain avec les deux pieds posés sur la terre.
Et bien justement juste en dessous de lui, le quatre ressemble à une pyramide vue des étoiles.
Et justement après le QUATRE, la figure pyramidale vue du ciel, se trouve le cinq qui est représenté par une étoile.
Si je veux représenter un lieu, il faudra que je dessine ce lieu le plus fidèlement possible.
Par exemple, pour représenter la terre de la manière la plus parfaite et la plus logique, il faudrait dessiner sa position dans le système solaire.
Le soleil serait le centre de gravité du système puis il faudrait simplement dessiner les planètes qui précèdent la terre pour l’identifier.
On représenterait donc dans le respect des proportions les planètes Mercure, Vénus, puis la Terre.
Cela suffirait à indiquer que la Terre est la troisième planète du système solaire.
Or, justement, ce qui est étrange, c’est qu’il existe sur terre une construction humaine qui remplit exactement ces conditions.
Quand ses recherches le mène en Égypte et dans les étoiles
Il s’agit des trois grandes pyramides du plateau de Gizeh qui sont précisément le reflet des trois premières planètes du système solaire.
Voir aussi :
La Révélation Des Pyramides et autres sites sacrés, news 2017
En effet, si je devais créer un portrait fidèle de la terre, pour une vue aérienne, je ne pourrais pas faire un dessin plus précis que celui des trois pyramides.
Les trois planètes Mercure, Vénus, Terre correspondent non seulement proportionnellement à la grosseur des trois Pyramides, Mykérinos, Khéphren, Khéops, mais surtout Mykérinos présente un décalage de 9° d’angle par rapport aux deux autres pyramides.
Or Mercure affiche exactement le même décalage de 9° par rapport à l’elliptique.
Si l’on revient maintenant à notre schéma de départ, nous avons donc une représentation de la Terre juste en dessous de l’apparence humaine.
C’est logique. Ainsi, en dessinant le temps intelligemment, on se rend compte que la configuration des quatre premiers chiffres représente l’apparence de “l’être humain, habitant de la terre”.
Comme on l’a vu plus haut, le CINQ, figuré par une étoile à cinq branches, arrive aussitôt après la terre dont la représentation correspond à une pyramide vue des étoiles.
Logiquement nous pouvons en déduire que le Cinq veut dire “le ciel de la Terre” et vous verrez que cette expression fait aussi référence à une carte.
Le six, l’étoile à six branches représente quant à elle l’étoile la plus brillante du ciel : Sirius. Il se trouve que les anciens ont toujours représenté Sirius de cette façon :
Nous allons maintenant nous tourner vers les étoiles.
Lorsque l’on regarde le ciel, l’œil est tout de suite attiré par les étoiles les plus brillantes et notre attention s’attarde presque systématiquement sur la constellation d’Orion.
On se rend compte alors que l’alignement des trois étoiles de la ceinture d’Orion qui forment un reflet parfait de la configuration des trois pyramides de Gizeh, débouche sur l’étoile la plus brillante du ciel qui est Sirius.
Donc en quelques instants, l’œil englobe la vision des pyramides, les étoiles, et l’étoile la plus brillante.
Maintenant si on compare les trois étoiles de la ceinture d’Orion aux pyramides, on se rend compte que cette ressemblance est parfaite.
Par conséquent, la configuration des étoiles pourrait faire office de carte du plateau de la région du Caire.
Si cette hypothèse est juste, l’étoile la plus brillante, Sirius, devrait correspondre à quelque chose d’assez significatif sur la Terre.
En tant qu’étoile la plus brillante, un peu comme dans une carte au trésor, elle devrait représenter le gros X où a été caché le trésor.
L’emplacement de Sirius représente donc pour nous l’endroit à atteindre sur la Terre.
Ainsi, “Le Cinq”, l’étoile, “le ciel de la terre” nous amènent à découvrir une “carte de la terre dans le ciel” qui va nous permettre d’atteindre l’emplacement sur la Terre, de Sirius, le SIX, l’étoile la plus brillante.
Le Caire, quand l’ancien et le moderne représentent une carte du ciel
J’ai donc superposé la carte du ciel centrée sur Orion, avec la carte de la région du Caire centrée sur les pyramides.
La première concordance qui saute aux yeux c’est la Voie lactée.
Beaucoup le savent déjà, ce fleuve de feu composé de milliards d’étoiles se confond sur la Terre avec le fleuve d’eau, le Nil lorsqu’on superpose l’axe des trois pyramides avec celui de la ceinture d’Orion.
Après quoi, je suis donc allé voir sur la carte terrestre la zone correspondant à l’étoile la plus brillante du ciel.
Une vue aérienne permet de se rendre compte que tout le quartier a été conçu sous la forme d’une porte gigantesque avec son porche et ses fenêtres.
Il s’agit d’un modèle de porte très fréquent et très ancien que l’on retrouve souvent dans les architectures des églises.
C’est le seul quartier du Caire à présenter une configuration pareille.
Or l’étoile la plus brillante se trouve exactement au centre du demi-cercle de cette porte, là où se trouve habituellement une rosette et parfois une lanterne.
L’étoile la plus brillante représentée sur terre se trouve donc au cœur d’un immense dessin en forme de porte, la “Porte de l’Étoile”.
Un gros plan sur l’emplacement de l’étoile nous permet de constater la présence d’un ensemble architectural composé de six hexagones qui dessinent une étoile à six branches aux pointes tronquées.
Pas de doute, il s’agit bien d’une représentation de Sirius telle que nous l’avons nous-mêmes dessiné.
Là on se dit qu’on est en train de mettre le doigt sur quelque chose.
Maintenant que nous savons que les étoiles forment une carte du plateau de Gizeh, il nous reste simplement à la décrypter et à comprendre son fonctionnement.
Aujourd’hui il est évidemment très facile de trouver directement l’emplacement de Sirius.
Il suffit de superposer les images satellites et astronomiques.
Je me suis donc demandé comment il était possible d’arriver au même résultat sans s’appuyer sur la technologie actuelle.
Je me suis alors intéressé à l’endroit le plus lumineux et le plus proche de la ceinture d’Orion et donc le plus facile à localiser : la nébuleuse qui forme le baudrier d’Orion.
Son nom scientifique est M42.

Baudrier d’Orion, M42
Une fois positionnée à cet endroit sur Terre, il suffira de regarder dans la direction des pyramides et d’attendre que les étoiles se positionnent intelligemment par rapport à la configuration au sol.
Lorsque les pyramides et sites d’observation se trouveront dans la même position que la ceinture et le baudrier d’Orion, alors il sera possible de calculer et de définir la position de Sirius sur le sol.
J’en ai donc déduit que ce pôle d’observation devait être un endroit très important, car c’est à cet endroit que la carte céleste devait prendre tous sont sens.
J’ai finalement découvert que toutes les nuits entre le 20 et le 31 décembre, l’observateur qui se trouve sur M-42 voit passer la constellation d’Orion à la verticale des pyramides.
Tandis que la Voie lactée est alignée sur la pyramide de gauche, Khéops, qui représente la terre, l’axe de la constellation quant à lui s’aligne parfaitement sur la deuxième pyramide, Khéphren, la pyramide du centre, celle qui représente Vénus, et qui est la seule des trois pyramides à avoir conservé son revêtement de calcaire à son sommet.

pyramide de Khéphren
Ce revêtement est comme un viseur au centre d’une mire et là aussi ce n’est pas forcément un hasard.
En regardant vers la gauche au-dessus de l’horizon on peut voir les constellations :
– Le grand chien et le petit chien.
– Le grand lion et le petit lion.
– La Grande Ourse et la Petite Ourse.
La première chose à noter c’est que les constellations des Lions et les Chiens ressemblent à des lions et à des chiens.
Mais pas les Ourses.
Les Ourses ressemblent à deux symboles abstraits qui s’inversent l’un l’autre.
Un qui touche notre planète de son extrémité, et l’autre qui touche de son extrémité une étoile bien particulière : l’étoile Polaire, la seule étoile à être fixée à la rotation terrestre et qui est donc unique à la Terre.
C’est étonnant de voir que ces deux symboles qui s’inversent suggèrent logiquement par leur extrémité contraire une notion de lien et d’alignement entre ciel et terre.
C’est exactement ce qui se produit avec la constellation d’Orion, la Voie lactée et les pyramides.
La seconde chose à noter c’est que les Chiens, les Lions et les Ourses sont les trois seules constellations sur les 88 existantes, dessinées en double, petit et grand.
Or, ces constellations sont configurées comme les pyramides : les Ourses et les Lions sont alignés.
Les Lions correspondent à Khephren/Vénus et sont un peu plus petits que les Ourses qui correspondent à Khéops/Terre ; quant aux chiens ils sont beaucoup plus petits et correspondent à Mykérinos/Mercure.
Enfin, comble du “hasard”, les constellations du chien présentent elles aussi un décalage de 9° par rapport à l’alignement des autres constellations.
Cela fait tout de même beaucoup de hasard ?!
En réalité, on a l’impression de voir représenté à chaque fois la position de la Terre par rapport au soleil, avec un effet de miroir multidimensionnel.
Le grand Chien et le petit Chien ne touchent pas à l’horizon.
En se tournant vers l’est, là où regarde le Sphinx, on va retrouver le reflet du Sphinx, le grand Lion et le petit Lion.
Le Lion regarde en direction d’Orion exactement comme l’observateur placé sur M-42.
En tournant encore un peu la tête, on trouve les deux Ours et on constate que la Grande Ourse indique le sol entre le nord et le nord-est, comme un gros point d’interrogation qui pointerait le sol.
Évidemment, ce rendez-vous n’est pas permanent et il ne survient qu’à une période très précise de l’année.
En effet, comme je le disais plus haut, c’est seulement entre le 20 et le 31 décembre que l’axe naturel de la constellation d’Orion passe à la verticale de la pyramide centrale qui rappelons-le, est la seule à avoir une pointe bien distincte qui est comme un “chevron” de porte des étoiles.
La taille du “chevron” nous permet donc de connaître le temps durant lequel la porte des étoiles est active : une dizaine de jours par an.
C’est le temps pendant lequel la fameuse ligne droite dans la constellation d’Orion reste à la verticale de la pyramide de Khéphren.
Il ne faut surtout pas oublier que cet alignement n’est visible qu’à partir de l’emplacement de la nébuleuse M-42 sur terre.
Mais attention, ce rendez-vous annuel de la fin du mois de décembre n’est pas valide de toute éternité.
Ce n’est que depuis le début de l’an 2000 que cette ligne droite verticale se trouve précisément au centre de la pointe de la pyramide de Khéphren.
Il y a 2000 ans, cette ligne droite verticale se trouvait bien loin sur la gauche.
En fait, cet alignement (qui permet de situer Sirius sur terre et de découvrir peut-être le trésor enfoui, ne se produit au-dessus de ce “chevron”, que depuis 1950.
Et il faut savoir que la constellation quittera le “chevron” par la droite en 2050.
C’est donc sans doute seulement durant cette courte période d’un siècle, de 1950 à 2050, que la porte des étoiles pourra être activée.
C’est seulement durant cette période que la Terre se trouve en parfait équilibre avec la Voie lactée, et donc le cœur de la galaxie.
L’axe vertical de la constellation d’Orion sur le curseur de la pyramide de Khéphren donne ainsi l’image d’une balance en équilibre parfait.
Notons que cette configuration ne s’est jamais produite auparavant.
Nous pouvons en conclure que ce système n’a pas été créé à échelle humaine, mais plutôt à une échelle planétaire.
Cela signifie que ceux qui ont bâti les pyramides l’ont fait pour notre époque parce qu’ils étaient conscients que cette période d’équilibre devait être une étape essentielle dans la vie de notre planète.
De fait nous vivons une époque très particulière et nous sentons tous ce mouvement d’accélération vibratoire qui secoue la planète et ébranle le temps.
L’évolution technologique est en train de refléter notre réalité et bientôt nous ne saurons même plus faire la différence entre ce qui est vrai et ce qui est faux…
Le site terrestre de M-42, un club de tir de l’armée égyptienne
Il est grand temps à présent de nous rendre sur le site terrestre de M-42 puisque selon moi c’est à partir de ce site que le schéma doit trouver sa cohérence.
J’avoue que mon appréhension était grande en allant voir la première fois sur Google Earth.
Je ressentais une vive inquiétude comme à chaque fois qu’il me fallait vérifier concrètement la validité de ma théorie.
Il se trouve que le site correspond à l’entrée du club Remaya, le Club de tir des forces armées.
Une zone évidemment interdite au public.

Club de Tir de l’armée égyptienne; la porte des étoile ?

Club Remaya
Première constatation, l’ensemble du parc à l’entrée se présente comme une porte semblable à la porte que nous avons vue à l’emplacement de l’étoile la plus brillante sur terre.
Nous sommes donc bien dans notre élément.
L’entrée du club donne sur un grand parc composé d’un anneau et d’une grande fontaine rectangulaire.
L’anneau présente les mêmes dimensions que la porte des étoiles, environ 6,5 mètres.
Sur les côtés de l’anneau, on peut distinguer des pierres rouges espacées à des distances régulières comme les chevrons rouges de la porte des étoiles.
L’herbe au centre de l’anneau a l’air brûlée comme si elle avait été piétinée.
Rappelons que ce club des forces armées égyptiennes est tout sauf un lieu public.
Le bassin rectangulaire derrière l’anneau est bordé de nombreuses sculptures de dauphins très réalistes qui ont l’air de plonger dans le bassin.
D’autres Dauphins au centre sont figés dans la même position de plongeon.
Cette présence est particulièrement troublante et en lien étroit avec notre recherche.
La porte des étoiles : un alignement qui se produit tous les 5000 ans
Ci-dessous une vue d’ensemble de tous les monuments et bâtiments qui nous intéresse ici, avec leur position les uns par rapport aux autres.
Mais cet alignement comme nous l’avons vu plus, ne se produit pas n’importe quand.
En fait, il ne s’est pas produit depuis des milliers d’années !
C’est seulement depuis 1950 et jusqu’en 2050 que l’axe de la constellation d’Orion sera aligné parfaitement à la verticale des pyramides.
Et ce, seulement pendant la période du 20 au 31 décembre de chaque année.
Les anciens n’utilisaient donc pas cette technique seulement pour localiser la position de Sirius sur Terre.
Car, ceci n’est possible qu’à notre époque si on prend la pyramide du centre comme point de référence.
Mais, il y a 5 000 ans, cet alignement parfait s’était produit à la verticale de la Grande Pyramide.
Et probablement que dans 5000 ans, ce sera à la verticale de la plus petite des trois pyramides.
Alors tout cet alignement nous donne quoi ?
Une sorte de fenêtre spatio-temporelle ?
Un moment et un lieu précis sur Terre ?
Peut-être, s’agit-il d’un message pour notre époque ?
Tempête lors du concert de Jean Michel Jarre au pied des pyramides, le 31 décembre 1999
Le 31 décembre 1999 au moment du passage à l’an 2000 un spectacle grandiose mettant en vedette Jean-Michel Jarre, fut organisé au pied des pyramides.
Pendant ce spectacle un immense pyramidion en or devait être déposé au sommet de la pyramide de Khéops par hélicoptère.
Mystérieusement, une effroyable tempête de sable se leva et le spectacle du pyramidion dût être annulé.
Autre fait étrange, des caméras se sont perdues dans le désert qu’on n’a plus jamais retrouvées.
Il y a aussi quatre caméras qui ont été perdues dès le départ du direct, qu’on n’a plus jamais retrouvées.
Il y avait trois zones pour le spectacle : il y avait la zone de la scène, celle du désert, et puis celle des pyramides.
Donc il y avait trois équipes de télévision qui filmaient.
Et en fait, les gens de la sécurité, au début du concert, ont coupés des câbles pensant que c’était des câbles non identifiés.
Et il y a des choses qui ont été filmées, pensant qu’elles seraient en direct, qu’on n’a jamais vues…
Au dire des gens qui étaient présents, on ne pouvait plus rien voir et l’ambiance était bien étrange.
Comme aux Temps de la Bible, lorsque Dieu soulevait la tempête ou créait une nuée pour cacher ou interdire l’accès de certains lieux à un moment précis.
Si nous avions encore la foi, nous serions porté à croire que cet événement est un signe du ciel !
Pourquoi pas ?
En considérant les recherches de Patrick Lambert, cette date, à cette heure, à cette minute précise, ce lieu coïncidait avec le centre de la période entre 1950-2050 de l’ouverture de la Porte des Étoiles.
C’est le moment où l’alignement était le plus parfait.
Oublions le fait que notre calendrier dit calendrier grégorien marquait une date importante – le changement de siècle et de millénaire- mais que c’est le ciel avec son calendrier cosmique qui était au rendez-vous.
Qui a compris ce qui vient de se passer en Égypte, sous nos yeux fermés par le vent et le sable de la tempête?
Que s ’est-il vraiment passé ce 31 décembre 1999 au pied des pyramides ?
Vidéo : Conférence de Patrick Lambert sur la porte des étoiles
La porte des étoiles part 1
La porte des étoiles part 2
La porte des étoiles part 3
La porte des étoiles part 4
La porte des étoiles part 5
La porte des étoiles part 6
L’étrange histoire de Patrick Lambert avec le personnel de l’ambassade d’Égypte
Après ses découvertes, Patrick est entré en contact avec l’ambassade d’Égypte à Montréal.
Il voulait les informer en les avisant qu’il pourrait y avoir un intérêt d’un point de vue touristique.
Sans trop le prendre au sérieux, les gens de l’ambassade ont accepté de lui accorder une demi-heure.
Quand Patrick a débuté son exposé les gens ont été tellement emballés que quatre heures plus tard il était toujours là.
Des gens de l’ambassade lui ont même confirmé qu’il avait raison.
Là où l’histoire devient étrange c’est quand il a voulu reprendre contact avec les gens de l’ambassade un peu plus tard pour avoir des nouvelles.
On lui a alors appris que tous ceux à qui il avait parlé avaient été rapatriés en Égypte. Ils avaient tous été remplacés par de nouveaux émissaires…
D’ailleurs on entend plus parler de Patrick Lambert depuis quelques années, j’espère qu’il va bien, enfin si quelqu’un a de ses nouvelles, vous pouvez en donner sur les commentaires.
Car on aurait pu s’imaginer qu’il allait continuer ses recherches, mais depuis ces conférences, il n’y a plus de trace de lui sur le net.
Voir aussi :
Les véritables secrets de la Joconde et le visage de Léonard de Vinci
L’origine sumérienne et égyptienne de la Bible, les preuves
La genèse revisitée par les textes sumériens